Comme beaucoup d’anglophones en immersion, j’ai commencé la lecture par les magazines « J’aime lire ». J’adorais les nouvelles, mais bien sûr aussi les bandes dessinées. Ces magazines m’ont aidée à lire les volumes plus profonds. En sixième et septième années, j’ai participé au combat des livres, un concours de lecture. J’aimais avoir l’occasion de lire les livres que je n’aurais jamais choisis moi-même. Mon équipe a gagné la compétition. 

​

Quand je me préparais à partir pour le programme Explore à Rivière-du-Loup, j’ai décidé que je voulais  varier davantage mes lectures. Puisque le cours de lecture en français que j’avais pris à l’université d’Ottawa m’avait fait connaître la Librairie du soleil dans le Marché By, c’est là que j'ai trouvé mon roman. J’ai décidé de lire Les poisons de Katharz par A. Alwett, une fantaisie philosophique à propos d’une sorcière qui est responsable du sort de sa ville. Pendant les dix heures de train, je n’ai pas pu interrompre la lecture, et c’était aussi une bonne distraction en classe.